ZIN - Un pilote dans la ville
« Il n'y a rien de facile, il faut être vraiment pointu, connaître ce que vous faîtes parce que ici, une simple erreur est fatale », explique Jean-Claude, grutier du projet ZIN.
Le travail de grutier n’est pas une mince affaire. Au contraire ! Il faut non seulement avoir une excellente maîtrise technique et une bonne notion de l’espace, en estimant correctement les profondeurs et les distances, mais aussi une bonne gestion des risques. La responsabilité est énorme et toute erreur de jugement peut être fatale.
Jean-Claude, grutier du projet ZIN, en a fait l’expérience quotidiennement pendant la phase de démantèlement. Chaque jour, il commence sa journée par une ascension de pas moins de 115 mètres. De cette hauteur, il peut voir la ville s’étendre sous ses pieds, depuis sa cabine. Les grues sont parfois aussi contrôlées depuis le sol, mais en raison de l’envergure du projet, il est crucial d’avoir une bonne vue sur les noyaux en béton.
Tout en suivant les instructions d’un collègue au sol, il hisse et soulève des containers et autres objets lourds pour les remettre à la bonne place.
Pendant la phase de démantèlent du projet, qui touche à sa fin, Jean-Claude a notamment séparé l’aluminium du béton pour le recycler en un nouveau béton de haute qualité. Pour en savoir plus sur le réutilisation du nouveau béton dans le projet ZIN, lisez l’article sur le site du ZIN.
La conduite de grues n’est pas qu’un simple travail. C’est un métier qui demande de la passion, du courage et, bien sûr, une bonne condition physique ! Nous remercions tous les grutiers du projet ZIN pour leur mobilisation.
Envie de découvrir le quotidien de Jean-Claude ? Regardez la vidéo ci-dessous ! (Attention : ne convient pas aux personnes ayant le vertige !)
Merci à Karine Dana pour ces superbes images !
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